La Compagnie Ardente
Ils vous en feront voir de toutes les couleurs avec leur stand d’enluminures et d’étymologies héraldiques au Rise Of Trolls 3 ! Ils vous présenteront aussi leurs armures et initieront les enfants au combat. Les armes seront évidemment en latex ! Nous n’avons nullement envie de devoir ramasser des membres perdus lors de combats acharnés ! Jeunes et moins jeunes, venez découvrir cette bande de gais lurons : La Compagnie Ardente
Aktarum
Aktarum est un groupe Belge de Folk Metal né en 2005. Le groupe se démarque avec son « Troll Metal », alliant histoire fantastique autour des Trolls, des mélodies au Keytar et des riffs metal lourds, puissants et rapides ! Des combats, des fêtes et des aventures que 5 Trolls du village d’Aktarum se plaisent à raconter en s’amusant sur scène avec leur public.
Fondé en 2005 par le Claviériste/chanteur Trollour et le guitariste Trollaklass, Aktarum s’est démarqué rapidement avec son Troll Metal et cette joie sur scène comme dans le public. Une démo sort en 2007 et le groupe fait la première partie d’Ensiferum et quelques mois plus tard, celle d’Eluveitie et Heidevolk. Le premier album « Gang Of Trolls » sort en 2010 et les Trolls partent en tournée en France et Belgique avec les russes d’Arkona. Durant 4 années, le groupe fait sa promotion et fait parler de lui en continuant d’ouvrir pour des groupes qui ont marqué l’histoire du metal. En 2014, l’EP « Game Of Trolls » est enregistré au Noise Factory Studio et voit le jour. La musique devient plus précise et rapide, avec l’arrivée du batteur Trollhammer et d’un second guitariste Trollbard qui arrivent juste avant l’enregistrement de l’EP. Jusque 2018, le groupe travaille sur la composition d’un album qui représenterait l’image du groupe qui a évolué de par ses membres et sa maturation. Entre temps, s’ajoute dans la tribu le Troll bassiste TrollaFlem. En 2018, le groupe rentre en studio pour enregistrer son 3ème cd nommé « Ragnatroll ». Les Trolls d’Aktarum mettent en avant les qualités et forces de chacun pour rendre cet album unique et épique. Chacun compose et apporte son originalité et ses inspirations : TrollHammer avec sa rapidité et sa puissance derrière les futs. TrollBard avec sa voix et ses solos endiablés. TrollaKlass avec ses riffs lourds et ses mélodies à faire craquer des chèvres. Trollour avec ses orchestrations et mélodies épiques pompées directement des lutins et des elfes. Et TrollaFlem avec sa voix heavy et son doigté incroyable. Avec ce mélange déjanté, l’album est un nouveau départ pour le groupe. Tout en gardant son identité, le groupe a su évoluer avec le temps et ce 3ème opus est à l’image du village d’Aktarum : Sombre et peuplé de Trolls puants et amusants.
Bavar, le passeur d'histoires
Bon.
Écrire sa propre biographie est toujours une tâche difficile à mener. Ne pas trop en dire, ne pas en dire trop peu, ne pas se la jouer et garder un petit côté humour, ne pas se dévaloriser non plus…
Aussi, je vais faire quelque chose avec laquelle je suis un peu plus à l’aise: Je vais raconter une histoire. Mon histoire (ça y est, je me sens déjà narcissique. Tant pis, ça passera).
Tout commence le 30 juillet 1988, jour magique: Je suis né le même jour que ma mère m’a mis au Monde. Sacré coup de bol.
Par la suite, mon Papa m’a attrapé et s’est mis à me raconter des histoires. Tant que je dormais pas, il racontait.
J’ai pas dormi pendant huit ans.
Puis, ma Maman a pris le relais, elle m’a mis sur un monocycle et je devais pédaler pour fournir de l’électricité à la maison. Faites pas les choqués: J’adorais ça et j’étais très motivé. J’ai d’ailleurs fourni un moment de l’énergie à tout le village de La Reid.
Puis un beau jour, mes parents m’ont dit: « Fils, tu es un homme, que vas-tu faire maintenant? ».
Haha. Super, la question. Je pouvais pas rester un enfant et continuer à rêvasser et à me raconter des histoires? Il devait bien y avoir un truc à faire qui me permette de faire ça…
Je suis donc entré au Conservatoire de Mons, duquel je suis sorti en 2011, le même jour que j’ai fini mes études, à nouveau, coup de bol.
Ensuite, je suis allé dire bonjour à un ami, dans une fête médiévale.
Sans trop savoir pourquoi, je suis monté sur une table dans une taverne.
Là, d’un coup, silence. Les gens me regardent.
Je me souviens des paroles de mon professeur « Si les gens te regardent en se taisant, tu dois faire un spectacle, et tu verras, ça sera facile, il suffit de faire les choses dans l’ordre. »
C’est ce que j’ai fait. Un mot après l’autre, j’ai raconté une histoire.
C’est ce jour-là que Bavar est né. Il ne me quitte plus aujourd’hui, toujours tapi dans un coin à fabriquer de nouveaux contes.
Enfin, après avoir conté un peu partout, je me suis mis à jouer sur des planches, des vraies, de théâtre, mais aussi dans la rue avec mes amis de la Puck Company, ou devant une caméra.
Aujourd’hui, je fais toujours plein de trucs rigolos, j’essaie de les écrire parfois.
Je me dis que j’ai encore beaucoup beaucoup beaucoup de choses à apprendre et que ce n’est qu’un petit début de ce qui va être passionnant (enfin j’espère).
Pour terminer ce petit récit, je vais vous révéler trois rêves et trois choses que j’aime.
Mes rêves: Mettre des étincelles dans les yeux des gens (c’est une image), ne pas avoir le temps de m’ennuyer (mais un peu quand même) et faire revenir les dinosaures sur Terre.
Ce que j’aime: Les compliments, le hands-up et le saucisson. Surtout le saucisson.
Drenaï
A la convergence des mélodies envoûtantes de la musique celtique et de la puissance brute des sonorités métal, se tiennent les sept de Drenaï. Depuis l’été 2011, ses musiciens ont formé le pari de rendre hommage à l’auteur britannique David Gemmell en s’inspirant de son œuvre, afin de délivrer une musique jouant avec les codes de l’Heroic-Fantasy. En effet – à l’instar d’un roman – un concert ou un album de Drenaï vous invite à parcourir les chapitres d’une saga légendaire, faite de hauts-faits et de trahisons, d’espoirs et de peines, de combats épiques et acharnés.
Light Dragon
